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AUGUSTIN ETIENNE DESCHARD
Né(e) à VERSAILLES , décédé(e) à BREST
Chevalier - officier terre
Aspirant de la marine italienne en 1806, il passe enseigne de vaisseau provisoire de la marine Impériale en Illyrie en 1811.Il reçoit son congé définitif pour raisons de santé le 25/02/1811. Il devient alors employé à la trésorerie générale d'Illyrie le 1er mars de la même année, puis chef de bureau en 1813. Il est préposé payeur à Villusch en Carinthie le 01/08/1813. Il est licencié à Turin lors de la dissolution du gouvernement de cette province en 1814. Il est alors nommé chef du train des équipages auxiliaires. Il est licencié à Crémone lors de la dissolution de l'armée d'Italie (04/05/1814). Il devient alors employé à la Paierie générale de la Grande Armée puis payeur adjoint à l'armée du Nord (18/05/1815). Il est licencié après Waterloo et devient inspecteur des fourrages dans le département du Nord (01/06/1816) puis garde magasin des fourrages. Il est licencié de ce poste en 1818. Il devient payeur à l'armée d'Espagne en 1823, attaché au GQG. Il exerce ses fonctions à Valence, Carthagène, Saragosse. Il est licencié lors de l'évacuation de l'Aragon en 1825 pour devenir percepteur à Bailly (Seine & Oise) en 1827. Il démissionne en 1828 et devient capitaine de la Garde Nationale à Sens en 1830 puis passe à celle de Paris en 1831.Il devient la même année payeur directeur à l'armée du Nord. L'année suivante il est Payeur du Cantal puis de la Haute Vienne (1837). Il est chevalier de l'Ordre royal espagnol de Charles III (1824). Enterré au cimetière de Saint Martin à Brest (Carré 2 - Rang 3 - Tombe 5)
JEAN NICOLAS TROUILLE
Né(e) à VERSAILLES , décédé(e) à BREST
Engagé comme fusilier-marin en 1776, il rejoint Brest, ville où il va vivre un demi-siècle et être mêlé à l’histoire de la ville et de son port comme ingénieur des Travaux hydrauliques. Député du Finistère au Conseil des Cinq-cents en 1795, il agit avec ceux qui veulent l’ordre et la justice. Partisan modéré de la Révolution, il présente plusieurs rapports sur la marine. Il s’oppose vivement à la vente du Château et du parc de Versailles voulue par le Directoire en 1798. A sa sortie des Cinq-cents, il retrouve Brest. Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, il est Directeur des Travaux hydrauliques à Rochefort puis à Brest jusqu'à son admission à la retraite en 1821.