Résultats de la recherche
LOUIS EDOUARD BOUET WILLAUMEZ
Né(e) à BREST, décédé(e) à MAISONS LAFFITTE
Grand-Croix - Officier de marine
Vice Amiral - Commandant en Chef l'Escadre de Méditérannée - Fondateur de Libreville (Port-Bouët) - Sénateur de l'Empire en 1865. Fils d'un négociant-maire de Lambezellec, il est adopté par son oncle, l'amiral Willaumez en 1845. EN 1824 (Angoulème), campagnes en Méditerranée, aux Indes, Navarin, prise d’Alger, blocus d’Anvers (1832), remonte le Sénégal, explore les côtes d’Afrique. Gouverneur du Sénégal, crée les comptoirs de Grand Bassam et Assinie, réprime la traite négrière, commandant la division navale de l’Atlantique sud, campagne de Crimée, commandant en Adriatique et station du Levant, Préfet Maritime à Cherbourg et à Toulon, commandant de l’escadre d’évolution et celle du Nord (1870). Il a publié de nombreux articles, ouvrages de tactique, une description des côtes d’Afrique et une étude sur la traite des noirs. Commandeur de l'Ordre du Bain - Grand Officier de l'Ordre de Saint Maurice et Saint Lazare - Grand Croix de l'Ordre de Pie IX - Médaille militaire en 1867 - Bio internet : "Fils d'un négociant, maire de Lambezeller, il est adopté par son oncle, l'amiral Willaumez (Vice amiral) en 1845. Elève aspirant en 1824, il embarque pour 5 ans de navigation en Méditerranée (participe à la bataille de Navarin en 1827) et dans l'océan Indien. Enseigne de vaisseau en 1829, il participe à l'expédition de Morée, puis au blocus et à la prise d'Alger (1830). Suit ensuite la flotte qui effectue le blocus d'Anvers. Lieutenant de vaisseau en 1834, il est d'abord attaché à la station navale de la Plata, avant d'aller au Sénégal.. En 1836 il prend le commandement de l'Africain, vaisseau à vapeur, qu'il conduit 200 lieux à l'intérieur du pays, jusqu'au cataractes du Felou (haut Sénégal). Il revient seul occidental vivant, tous les autres étant morts de maladie. Chev LH. En 1838, il prend le commandement du brick la Malouine, et il trace une voie de commerce sur la côte d'Afrique (repérant les points de relache, de traite, les personnels indigènes et européens établis sur la côte et les production naturelles). Durant cette expédition, il chatie les peuplades indigènes qui avaient pillé trois vaisseaux de commerce et il signe en 1839 un traité de commerce avec le roi du Gabon. Off LH. En juillet 1840, il fait le répérage de la baie de Mogador et établit un plan d'attaque de la place. Capitaine de corvette en 1840, il prend le commandement de la station extérieure de l'Afrique de 1841 à 1842, sur le Misus. A cette date il est nommé gouverneur provisoire du Sénégal. Le 15/8/44, il est attaché à l'expédition commandée par le Prince de Joinville qui prend Mogador en suivant ses relevés. Il est récompensé en rapportant les trophées en France et en obtenant le grade supérieur. Capitaine de vaisseau (1844), il inspecte les comptoirs du golfe de Guinée. En 1845, son adoption par l'Amiral Willaumez et son mariage avec la fille de l'Amiral Le Marant de Kerdaniel lui ouvrent de nombreux appuis. En 1845, il prend le commandement du vaisseau à vapeur le Caraïbe à Lorient, comme capitaine de pavillon de l'amiral Montagniac de la Rocque, commandant la station navale des côtes occidentales d'Afrique. Dans ce poste il exerce les fonctions de chef d'EM d'une escadre de 26 croiseurs. En 1848, il prend de nouveau un poste en Afrique, comme commandant de la station navale des côtes d'Afrique sur la frégate la Pénélope. Durant son commandement, il rétablit la souveraineté française sur les établissements de Guinée et est nommé Comm LH pour son courage démontré lors d'une attaque à terre et à la baïonette contre des tribus rebelles. Il participe aussi à l'envoi diplomatique qui va négocier la fin de la traite en l'Angleterre. Contre Amiral. Il est nommé en 1853 chef d'EM de l'escadre de Méditerrannée sous les ordres de l'amiral Hamelin. Dans ces fonctions il participe à toutes les opérations navales de Crimée (bombardement d'Odessa, débarquement à Old Fort, attaque de Sébastopol). Comm Ordre du Bain. En 1856, il est nommé commandant en chef la flotte du Levant sur la Pomone. En 1859, nommé au conseil des travaux, il participe à la guerre en Italie comme commandant la flotte de siège de l'Adriatique. Après ces opérations, il est nommé membre de la commission de défense de côtes et de celle réunie pour mettre en état les défenses de Nice et de Villefranche. GO Ordre militaire de Savoie. Vice amiral en 1860. Préfet Maritime de Cherbourg, il prend en 1861 le poste de Préfet maritime de Toulon. GO ST Maurice et Lazare, GX Ordre de Pie IX. En 1864, il est commandant en chef de l'escadre de Méditerrannée, sur le Ville de Paris, puis le Solférino. En 1865, il est nommé Sénateur. Médaille Militaire en 1867, GC LH en 1868. En 1870, il est nommé commandant de l'escadre cuirrassée du Nord avec laquelle il prépare l'expédition sur les côtes de la Baltique, qui n'aura finalement pas lieu. "
SEBASTIEN MARIE LE GOFF
Né(e) à SPEZET, décédé(e) à MAISONS-LAFFITTE
Chevalier - Sous officier Terre et soldat
Incorporé en 1906, au 11ème Régiment de cuirassiers, il est rayé des contrôles en 1908. Rappelé à l'activité en 1914, caporal en 1915 au 18ème Bataillon de chasseurs à pied, il est grièvement blessé en 1916 à DOUAUMONT et amputé. Il est cité à l'Ordre de l'armée et reçoit la Médaille militaire.
MAURICE YVES LOUIS HARNAY
Né(e) à BREST, décédé(e) à MAISONS-LAFFITTE
Chevalier - Ingénieur militaire
X 1925, ingénieur Artillerie Navale, contrôleur adjoint en 1938.
MAURICE HARNAY
Né(e) à BREST, décédé(e) à MAISONS LAFFITTE
- Ingénieur militaire
Contrôleur général des Armées, provenant du corps des ingénieurs du génie maritime. Inhumé à Landerneau.
CHARLES L'HOSTIS
Né(e) à ROSCOFF, décédé(e) à MAISONS LAFFITTE
Titulaire de la Médaille militaire et de la Croix de guerre.
MARIE LOUISE LE MENN
Né(e) à TREFLEZ, décédé(e) à MAISONS-LAFFITTE
- Religieux
Soeur Radegonde.
FRANCOIS MARIE PERHIRIN
Né(e) à BREST ST PIERRE QUILBIGNON, décédé(e) à MAISONS LAFFITTE
Chevalier - Officier de marine
Mécanicien principal de 2ème cl en 1918, il est affecté au Centre d'aviation maritime de Saint Raphael. Il est embarqué sur le croiseur "JULES FERRY" en 1920.
JOEL LE TAC
Né(e) à PARIS , décédé(e) à MAISONS LAFFITTE
Grand-Officier - Elu
Lieutenant-colonel honoraire, Compagnon de la Libération, aspirant lors de la dèbacle de 1940, il rallie les FAFL en passant par Saint Jean de Luz où il est incorporé à la 1ère Cie d'infanterie de l'air. Employé par le SOE, il est parachuté sur Vannes en 1941 pour opérer plusieurs missions de sabotage, puis sur Pessac pour faire sauter la centrale électrique alimentant la base de U.boot. Il est arrêté le 05.02.1942 avec ses parents et son frère et envoyé au Struthoff classé "Nacht und Nebel". En 1944, il est transféré à Dachau, Neuengammen, Grossrosen, Dora et Bergenbelsen. Il est libéré le 15.04.1945. Rappelé pour la Corée, puis Port-Saïd avec le général Massu. Journaliste puis grand-reporter à Paris Presse et Paris Match, député de la Seine et de Paris de 1958 à 1981. Président de l'INA.
Il est inhumé à Saint Pabu où s'est déroulé une partie de son action de Résistant. Croix de Guerre 1939-45 (5 palmes, Croix des TOE (2 citations), Médaille de la Résistance avec rosette, Médaille des Services Volontaires dans la France Libre, Military Medal (GB), Médaille des Nations Unies, Croix de Guerre Coréenne.